SORTIR L’AVORTEMENT DU CODE PÉNAL !


La guerre religieuse menée contre les droits acquis par les femmes, se poursuit. Sous les injonctions de Jorge Mario Bergoglio dit le pape François (1) et de l’Église, le CD&V, parti clérical, a déposé au Parlement une proposition de loi visant à donner la personnalité juridique au fœtus et ce dès les premiers jours de conception, ce qui remettrait en cause la dépénalisation de l’avortement et de facto le droit à l’IVG !

Le CLP-KVD, parce qu’il a toujours été attaché aux droits des femmes, condamne expressément ce projet de loi et

– apporte sa solidarité à toutes celles et à tous ceux qui luttent contre ce projet de loi ;

– se joint au combat pour une dépénalisation totale de l’avortement.

Bruxelles ce 16 janvier 2017

 

Vendredi 27 janvier 2017

de 9h à 13h

Salle des Congrès de la Maison des Parlementaires

21, rue de Louvain 1000 Bruxelles

Christine Defraigne, Présidente du Sénat

vous invite à assister au colloque

organisé en collaboration avec le Centre d’Action Laïque et deMens.nu

SORTIR L’AVORTEMENT DU CODE PÉNAL :

POURQUOI ? COMMENT ?

Pourquoi le recours à l’avortement consenti est-il toujours inscrit dans le Code pénal sous le titre « Des crimes et délits contre l’ordre des familles et la moralité publique » ?

Les articles de la loi actuelle ont-ils été rédigés en faveur des femmes ou en fonction d’une morale ?

Ce colloque sera l’occasion d’envisager cet acte médical non plus comme un délit partiellement dépénalisé, mais sous l’angle de la santé publique, dans un projet de société plus égalitaire et non sexiste.

Inscription requise / Nombre de places limité:

Par email: 20170127@senate.be   Par fax: 02/501.74.14

Télécharger le programme : programme-colloque-senat-27012017

Pour signer la pétition: Préservons le droit à l’avortement

(1) INSTRUMENTUM LABORIS 2015 « Il est urgent que les chrétiens engagés en politique encouragent des choix législatifs appropriés et responsables en matière de promotion et de défense de la vie. Tout comme la voix de l’Église se fait entendre au niveau sociopolitique sur ces thèmes, de même il est nécessaire que se multiplient les efforts pour entrer en concertation avec les organismes internationaux et dans les instances décisionnelles politiques, afin de promouvoir le respect de la vie humaine de sa conception jusqu’à sa mort naturelle  »