Depuis qu’il est monté sur le trône, il aurait rompu avec ses “faiblesses” antérieures – a-t-on dit !
Voire !
L’émission « Pédophilie dans l’Eglise : le poids du silence » de « Cash investigation » de France 2 diffusée le 21 mars 2017 affirme que le pape François a été trop complaisant dans le cas du prêtre argentin Julio César Grassi lourdement condamné pour pédophilie.
Les juges ont d’ailleurs reçu un dossier de 2 600 pages tendant à innocenter le Père Grassi. Cette contre-enquête a été commandée par la Conférence épiscopale argentine, alors présidée par…. le cardinal Bergoglio.
Alors que le frère Juan Ignacio Fuentes affirme que : « Grassi n’a jamais été protégé par Bergoglio ni par la hiérarchie de l’Église », Grassi lui, affirme : « Bergoglio ne m’a jamais laissé tomber… »
Et lorsque la journaliste, Elise Lucet, demande au locataire de la città del vaticano (Ici), celui qui affirme une politique de “tolérance zéro” à l’égard de la pédophilie :
Un saint homme, puisqu’on vous le dit !
Entouré, respecté, encensé, flatté, louangé, loué, honoré… le 25 mars 2017 à l’occasion des 60 ans de la vaticane union européenne
“Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es !”
Pour finir ce billet, le pape François, le jésuite, cumule hypocrisie, mépris, mensonge et vulgarité. Il est maître dans l’art de pratiquer « la restriction mentale », une doctrine jésuitique. Il n’hésite pas à accuser les catholiques d’être les responsables de la pédophilie au sein de l’église car ils n’auraient pas assumé leurs responsabilités. Ses propos, Judas ne les aurait pas reniés.
L. Taram
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